Ce qu’a vécu Jinnytty à Toulouse, c’est ce que vivent trop de femmes. Et on ne va pas se taire.

Ce qu’a vécu Jinnytty à Toulouse, c’est ce que vivent trop de femmes. Et on ne va pas se taire.

Insultée et agressée physiquement par un inconnu

 

Le 8 Mai 2025, alors qu’elle diffusait son live à Toulouse, la streameuse sud-coréenne Jinnytty (plus d’un million d’abonnés sur Twitch) a été agressée par un inconnu en pleine rue.

Son crime ? Être une femme. Être asiatique. Être visible. Être libre.

Pendant qu’elle marchait, seule, en filmant ses découvertes de la ville rose, un homme sur une trottinette a commencé à l’invectiver. Les propos sont d’une violence crue :
"Sale pute", "sale Chinoise". Puis il a tenté d’arracher son téléphone.

Une scène banale, pour beaucoup de femmes. Une scène trop familière. Une scène que Jinnytty a vécue en direct, sous les yeux de milliers de spectateurs.

❌ Pourquoi c’est grave ?

Ce n’est pas un simple "incident". C’est un condensé des violences que subissent les femmes dans l’espace public.
👉 Sexisme.
👉 Racisme.
👉 Tentative d’intimidation physique.
👉 Et une impunité quasi totale.

Car même si le parquet de Toulouse a ouvert une enquête, Jinnytty n’a pas porté plainte. Comme beaucoup de femmes, elle a préféré tourner la page. Par fatigue. Par peur. Par lucidité aussi, face à un système souvent inefficace.

✊🏽 Mais la communauté a répondu.

En quelques heures, les réseaux ont réagi. Des messages de soutien, notamment de la part de Toulousains, ont afflué.
Des femmes, des fans, des inconnus ont rappelé une vérité essentielle :
On a le droit de marcher seule.
On a le droit d’être visible.
On a le droit d’exister sans se faire agresser.

 

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