
Pourquoi on a du mal à dire qu’on est fière de nous ?
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Être fière, c’est encore tabou ? 🤐
T’as déjà accompli quelque chose de grand — mais t’as minimisé.
T’as bossé dur, surmonté des galères, mais t’as juste dit : « oh, c’est rien ».
Pourquoi on a tant de mal à se dire fière de nous ? Et pourquoi on se sent parfois arrogante juste en osant l’admettre ? 🫣
Parce qu’on nous a appris à rester modestes
Depuis petites, on nous a appris à ne pas "faire trop de bruit", à ne pas "prendre trop de place". Résultat : on associe souvent fierté à arrogance.
👉 « Sois humble, pas fière. »
Mais être fière, c’est pas écraser les autres. C’est juste reconnaître son propre chemin.
Parce que le perfectionnisme nous tue à petit feu
On se dit qu’on aurait pu mieux faire. Plus vite. Plus proprement. On voit le défaut au lieu de voir la victoire.
📌 Spoiler : tu peux être fière de toi même si ce n’est pas parfait.
Même si t’as pleuré. Même si t’as douté. Même si t’as pris ton temps.
Parce que la société ne célèbre pas les femmes qui s’aiment
On célèbre la réussite silencieuse, la beauté discrète, le travail invisible.
Mais dès qu’une femme s’affiche en disant « j’ai réussi », « j’suis fière de moi », on la juge.
➡️ Trop sûre d’elle. Trop visible. Trop tout.
Et si on changeait ça ?
Et si dire « j’suis fière de moi » devenait un acte de self love ?
Et si on apprenait à se célébrer, comme on célèbre nos besties ?
🙌 Tu mérites les fleurs. Tu mérites la reconnaissance. Même (et surtout) de toi à toi.
Commence petit 🌱
Sois fière de t’être levée. D’avoir tenu bon. D’avoir osé dire non.
Pas besoin d’un diplôme ou d’un million.
Juste de toi, debout, en train d’avancer.
💌 Aujourd’hui, écris-toi un petit mot : « j’suis fière de toi ». Et sens ce que ça fait.